Quels sont les partages de pouvoir entre ombre portée et image spéculaire ? Si l’ombre fait l’objet d’études rigoureuses, elle appartient largement au fantastique ; et elle en est devenue l’emblème avec L’Histoire merveilleuse de Peter Schlemihl, ou L’homme qui a vendu son ombre. Tel n’est pas le cas de l’image spéculaire. Ainsi Hoffmann rencontre-t-il de grandes difficultés lorsque, sur la foulée de Chamisso, il tente de décrire l’homme qui a perdu non pas son ombre, mais son image spéculaire.