Parmi toutes les versions que François a recueillies de ce célèbre mythe du nord du Vanuatu, celle-ci est doublement précieuse. D'abord, parce que cette version est longue, riche, vivant. Ensuite, parce que ce récit, enregistré en 2003 auprès de †Wolta Robin, est l'un des seuls enregistrements existant dans la langue lemerig, avant son extinction prochaine.