Nourrie par les regards croisés de théoriciens issus de différentes disciplines, cette journée d’étude se donne pour tâche d’interroger les discours, représentations et productions esthétiques liées à la place de la sphère publique dans le « numérique à venir », en prêtant une attention particulière aux impensés et idéologies qui entourent leur rencontre. L’enjeu réside ainsi dans le fait de penser la sphère publique dans sa matérialité, que les techniques et technologies de communication transforment et travaillent.