Après avoir réinterrogé le processus de périurbanisation et le fait périurbain au prisme d’une approche épistémologique puis mis en débat dans une deuxième session la dimension sensible et habitante des modes de vie périurbains, il s’agit dans cette troisième séance d’interroger l’évolution des pratiques et des manières de faire dans des espaces périurbains engagés dans des mutations dont on peut penser qu’elles sont sans doute autant conjoncturelles que structurelles.