Les approches critiques des recherches sur les organisations se méfient de prime abord des approches quantitatives qu’elles jugent sous-tendues par des épistémologies positivistes friandes de généralisations mais peu attentives aux situations singulières et parfois irréductibles. Si des travaux en théorie des organisations étudient le rapport entre taille et performance peu étudient le rapport entre la grandeur des entreprises et la possibilité d’y travailler dignement. Le but de la journée d’étude est d’explorer la façon dont la taille des organisations influence les conditions d’un travail digne de l’homme.