Une grande partie du patrimoine antique de la capitale de la Gaule narbonnaise a été détruite sous François premier qui a voulu faire de cette ville une place forte pour la défense du royaume. Dans la construction des murs d’enceinte il a cependant fait récupérer et utiliser des blocs de pierre taillés très souvent marqués par des décors ou des textes.
Dès le XVIIIe siècle, ceux qu’on appelle « les antiquaires », ont travaillé sur les inscriptions et ont laissé une documentation très riche.
Récemment, l’intérêt pour le passé de la ville a entrainé un vaste mouvement des archéologues, des épigraphistes et autres historiens de l’antiquité qui a permis de documenter l’importance de Narbonne dans l’Empire romain. Ces travaux ont en outre permis la réalisation d’un musée hors du commun, Narbo Via.